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Février,
2005
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Une nouvelle mise en page, des rubriques innovantes, à suivre,
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nouveautés..
Janvier,
2005
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Les compositeurs s'affichent sur le web (G. Brayars, M.A.
Charpentier, T. Riley). D'excellents sites sont consultables.
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Janvier,
2005
Moteur de recherche en éducation musicale :
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RESSOURCES
MUSICOLOGIQUES
Quelques publications musicologiques récentes
sont présentées ici.
Musique images
instruments vol. 6 sous
la dir. de Fl. Gétreau, CNRS
Editions.
Le
volume 6 présente les Ecoles et traditions régionales.
Dans le sillage de multiples travaux en cours, la notion
d'école régionale est présentée dans ce
volume et sera poursuivie dans le volume 7. C'est un regard
souvent inédit que propose ici ce parcours des écoles
régionales de facture instrumentale : on y apprend par
exemple que l'école de Crémone se consacra tout autant
au luth qu'à la facture du violon, même dans l'atelier
célèbre entre tous de Stradivari.
Du côté des instruments à claviers,
le volume invite à une redécouverte de l'école d'Anvers,
mais également de l'artisanat d'art de la ville d'Augsbourg
et de ses cabinets de merveilles, ou encore de l'atelier
suisse des frères Hellen, qui développa à la fin du XVIIIe
siècle des instruments hybrides d'une grande richesse
d'invention. Ce volume rend compte également de nombreuses
recherches inédites dans les archives départementales
de France, contribuant à restituer le dynamisme des écoles
régionales dans le domaine de la facture instrumentale
et des pratiques musicales.
Par
ailleurs, plusieurs foyers régionaux de peinture (France,
Pays-Bas, Hollande, Italie) sont étudiés du point de vue
de leur iconographie musicale. Enfin, le volume poursuit
l'inventaire des tableaux musicaux du Louvre qui se trouve
ainsi en voie d'achèvement.
Numéros
parus :
N°1
: Innovation et tradition dans la
vie musicale au XIXe siècle
N°2 : Aspects
de la vie musicale au XVIIe siècle
N°3
: Nouveaux timbres, nouvelle sensibilité au XVIIIe siècle
(première partie)
N°4
: Nouveaux timbres, nouvelle sensibilité au XVIIIe
siècle (2ème partie)
N°5 : Musiciens,
facteurs et théoriciens de la Renaissance
Quelques remarques
sur la revue :
Fondée en 1995 par Florence Gétreau, directrice de l'Institut
de recherche sur le patrimoine musical en France, Musique
. Images . Instruments est une revue scientifique annuelle
consacrée à l'étude des instruments de musique et à la représentation
de la musique dans les arts visuels en Occident.
Transdisciplinaire,
elle rassemble des domaines d'étude aussi variés que la
facture et l'acoustique instrumentales, l'histoire des
collections, la restauration des instruments, l'analyse
des sujets musicaux figurés dans les arts plastiques,
la signification symbolique des instruments de musique
dans l'histoire de l'art.
Les
articles, souvent abondamment illustrés, sont publiés
en français ou en anglais avec un résumé dans les deux
langues.
La Révolution des Bouffons L'opéra
italien au Théâtre de Monsieur 1789-1792
par Alessandro Di Profio, Publication de l'IRPMF
(Institut de Recherche sur le Patrimoine
Musical en France), mai 2003, 561 pages, CNRS
Editions. Prix : 45 euros.
De la mort de Mazarin jusqu'à la Révolution,
la France fut la seule nation d'Europe à fermer
ses frontières à l'art lyrique italien dont
le succès irrésistible conquit peu à
peu tout le continent, de Lisbonne à Saint-Pétersbourg.
Grâce au soutien de la cour et en particulier de
Marie-Antoinette, c'est en 1789 qu'ouvrit le premier établissement
avec une troupe stable de chanteurs italiens, le Théâtre
de Monsieur (connu par la suite sous le nom de Théâtre
Feydeau). Ce théâtre constitue d'une part
la conclusion de plus d'un siècle de tentatives
et de l'autre le point de départ de l'âge
d'or de la production d'opéra italien à
Paris au XIXe siècle.
En dépit de sa position stratégique entre
deux siècles et entre deux pays, le Théâtre
de Monsieur n'avait fait jusqu'à présent
l'objet d'aucune étude complète. Ce livre
retrace l'histoire de l'institution dans le cadre politique
et esthétique de la fin de l'Ancien Régime.
A l'aide d'une recherche de première main sur les
partitions, les livrets et un large corpus critique, il
offre en outre au lecteur de nombreuses pistes de réflexion
sur la réception de l'opéra italien soumis
au "goût" français. Un vaste recueil
de sources (extraits de presse et documents d'archives)
ainsi qu'un catalogue exhaustif des opéras représentés
avec l'indication des morceaux de substitution complètent
cet ouvrage.
Collection Sciences de la musique / Etudes,
dirigée par Sylvie Bouissou,
Publication de l'IRPMF
(Institut de Recherche sur le
Patrimoine Musical en France), mai 2004 , 520 pages,
CNRS Editions. Prix
: 59 euros.
Guillaume-Gabriel Nivers. Un art
du chant grégorien sous le règne de Louis XIV
de Cécile Davy-Rigaux
Organiste de l'église Saint-Sulpice à Paris, de la Chapelle
royale et de la Maison royale de Saint-Cyr, Guillaume-Gabriel
Nivers est surtout connu pour ses pièces d'orgue et ses
petits motets qui révèlent sa maîtrise du langage musical
de l'époque baroque.
Pourtant,
il est aussi l'auteur d'une imposante oeuvre de plain-chant
qui fait de lui l'un des compositeurs les plus étonnants
de son temps. Sa production comprend des pièces en « plain-chant
musical », la composition d'un antiphonaire complet pour
l'ordre de Cluny, une adaptation du répertoire grégorien
pour les religieuses et la révision des répertoires romains
et prémontrés. Quels principes théoriques et compositionnels
sous-tendent une oeuvre si diversifiée ? Comment se situe
sa production au sein des réflexions menées alors sur
le chant de l'Église catholique, et plus généralement
des débats de l'école d'érudition ecclésiastique française,
qui s'inscrivent dans le large mouvement de rénovation
pastoral et spirituel de la Réforme catholique en France
? Telles sont les questions auxquelles cet ouvrage s'efforce
de répondre avec la plus grande rigueur.
À
travers l'oeuvre de Nivers, le chant grégorien acquiert
le statut d'un langage musical et spirituel qui doit servir
de fondement à toute composition de musique ecclésiastique.
Une telle conception projette un éclairage nouveau sur
le musicien et la musique religieuse et par-delà, sur
la société catholique de l'époque de Louis XIV.
Cécile
Davy-Rigaux est chercheur
au CNRS (IRPMF). Docteur en musicologie et titulaire des
prix d'histoire de la musique, de musicologie et d'esthétique
musicale du Conservatoire national supérieur de musique
et de danse de Paris, elle est rédactrice en chef adjointe
de l'Opera omnia de Rameau et responsable d'un programme
de recherche sur la musique ecclésiastique des XVIIe et
XVIIIe siècles.
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